Où en est-on des connaissances sur la crise sanitaire ?
Dans la partie 6, on a constaté qu’on nous présente la vaccination comme le seul moyen de sortir de cette crise sanitaire pour retrouver une vie normale comme avant. Mais que cependant quand on analyse les données de manière objective, on a une maladie peu dangereuse, en phase terminale, pour laquelle des traitements ont été démontrés et de l’autre quatre vaccins développés à une vitesse encore jamais vu, dont les essais cliniques ne sont pas terminés et dont les premières utilisations font preuve d’une quantité d’effets indésirables encore jamais constatée par le passé, sans pour autant protéger ni réduire la transmission à 100%.
Les avantages de la vaccination obligatoire
- Un effet immédiat est que les onze vaccins obligatoires (2008) sont devenus instantanément un acquis bénéfique du passé alors que leur innocuité n’est pas prouvée (si ce n’est pas l’injonction de MSTouraine : « la vaccination ça ne se discute pas »). La concentration en aluminium faisait hier encore largement débat. Cela semble terminé. Il ne faut pas s’interroger aujourd’hui sur l’utilité ou l’innocuité des vaccins au risque d’encourir l’anathème des scientistes qui brûlent les antivax sans autoriser le moindre débat scientifique sur le sujet.
- Le passe-sanitaire n’est pas une obligation vaccinale. Un argument d’une mauvaise foi énorme qui ne trompe personne, sauf le conseil d’État et le conseil constitutionnel. Au passage, un Conseil constitutionnel présidé par un ancien premier ministre, mise en cause dans le scandale du sang contaminé, et père du consultant d’un cabinet de conseil américain en charge de la mise en œuvre de la politique vaccinale française. Cabinet poursuivi par la justice américaine (Mckinsey paie $573 millions pour solder les poursuites dans le scandale des opiacés)
Mais on peut raisonnablement douter de la dangerosité du Covid. Dans ce cas aucun vaccin ne peut apporter un bénéfice supérieur au risque. Surtout dans les tranches d’âges inférieures à 65 ans où les impacts du Covid sont officiellement insignifiants. Même si quelques cas d’enfants ou de jeunes adultes ont été trouvés, cela ne justifie pas de mettre en place une politique de vaccination nationale généralisée.
Mais admettons que le Covid soit dangereux et admettons qu’il n’y ait pas de traitement pour éviter une évolution dramatique de la maladie. Dans ce cas un vaccin ne peut tout de même pas apporter un bénéfice supérieur au risque. Alors pourquoi tout cela ?
On touche là, le domaine où tout n’est qu’hypothétique. Aucune information que l’on trouve n’est vraiment vérifiable. On avance au gré des rumeurs les plus folles. Certaines tellement énormes que l’on se dit « non, ce n’est pas possible ». Mais le doute scientifique oblige à ne rejeter aucune hypothèse sans l’avoir même envisagée. Le problème c’est que tout nous pousse à être suspicieux devant une information tronquée, déformée, orientée que l’on nous livre sans débat possible. Et sans contre argumentation.
Il y a donc beaucoup de raisons pour légitimement s’interroger car comme le disait la grand-mère de Martine Aubry « Quand c’est flou c’est qu’il y a un loup ». Alors Pourquoi nous confiner ? Pourquoi un vaccin ? Dans quel but ? Qu’y a-t-il dedans ? Pourquoi un passe-sanitaire liberticide et contraire aux lois sur la libre disposition de son corps ?
L’avenir nous dira ce qu’il en est. Je garde trace des possibles explications qui me viennent à l’esprit pour le relire plus tard, afin de sourire de ma paranoïa ou de pleurer de ma clairvoyance.
- Rapporter des milliards à l’industrie pharmaceutique (si ça ne pouvait être que ça…)
- Promouvoir une vision du monde sans débat
- Loi bioéthique
- Loi sur les fake-news
- Loi sur le secret des affaires
- Loi sur les contenus haineux en ligne
- Loi sécurité globale
- Etc
- Asseoir définitivement le capitalisme pour qu’une classe dominante réduite dirige une classe dominée majoritaire mais asservie.
- Alors tout bêtement nous formater à l’obéissance docile, afin de tout accepter sans se rebeller. L’injonction d’injection du passe-sanitaire permet d’amener la population dans un état de soumission résignée. Ce sont les principes éprouvés de la torture physique qui sont appliqués sur le mental. Le but est de faire régresser les gens à un stade ou l’obéissance devient la norme.
- Nous préparer à l’identité digital sur smartphone, regroupant identification, moyen de paiement unique et signature électronique comme Thalès, par exemple, le propose
- et activer la reconnaissance faciale comme VALEO le propose pour 2023 sous couvert de dépistage du Covid
- Avoir un moyen de surveillance permanent par nano-objets connectés de l’ensemble de la population encore plus efficace qu’un smartphone (déplacement, personne rencontrée, habitude d’achat, …). Un dispositif permettant une manipulation invisible des populations par anticipation de leur désir. Ce point est compatible avec le point précédent
- Opérer un « great reset » pour déboucher sur un modèle de spoliation des biens et libertés d’une classe dominée afin d’apurer les dettes mondiales (voire la dette n’est qu’un prétexte bien commode pour donner du pouvoir au FMI qui peut imposer sa loi comme en Grèce). Ce point est aussi compatible avec le précédent
- Incorporer une cryptomonnaie (objet nano connectés) qui alimenterait un porte-monnaie citoyen virtuel en fonction de nos bonnes actions (travail, délation, …) ou le viderait si nous n’obéissions pas (rébellion, non-respect des lois, oisiveté, …) comme c’est déjà le cas en chine (concept du crédit social). Ce point est aussi compatible avec le précédent
- Éviter la surpopulation qui rendrait la planète inhabitable (compatible avec l’avènement du capitalisme total)
- Diffuser la protéine spike néfaste à la santé qui provoquerait une baisse de l’espérance de vie à court ou moyen terme
- Induire l’infertilité. Les anticorps produits contre la protéine spike pourraient lutter contre la protéine syncytine (plusieurs séquences ADN identiques) produite pour créer le placenta chez la femme enceinte
- Réguler le nombre de personnes sur terre par l’intermédiaire de nano-objets connectés qui aurait des influences sur le métabolisme – Déclenchement ciblé (lieu, type de population, …)
- Ou toute autre idée diabolique qui dépasse mon imagination…
Pourquoi a-t-on besoin d’un pass selon Hervé Bazin, une reprise de son blog
Si le vaccin ne fonctionne pas, le pass sanitaire est évidemment inutile…
…mais si le vaccin fonctionne bien, le pass est tout aussi inutile !
Cela me paraît d’une logique implacable.
Mais comme ce n’est pas aussi évident pour Emmanuel Macron et les « génies » qui nous dirigent, on va voir ça un peu plus en détail.
Si le vaccin est efficace contre les formes graves, pas besoin de Pass !
Si, comme on nous le répète partout, le vaccin est efficace contre les formes graves, à quoi peut bien servir le passe-sanitaire ?
Je rappelle qu’en France, plus de 85 % des plus de 75 ans sont doublement vaccinés. C’est le cas également de plus de 75 % des plus de 65 ans. Quant aux diabétiques adultes (tous âges confondus), ils sont 70 % à être vaccinés avec deux doses !
Bref, la grande majorité des personnes qui sont les plus à risques de se retrouver à l’hôpital sont vaccinées.
Si le vaccin diminue réellement le risque d’hospitalisation, il est donc IMPOSSIBLE que les hôpitaux soient engorgés ou saturés.
C’est d’autant plus évident que beaucoup de gens non vaccinés sont immunisés, parce qu’ils ont été infectés. Quand on aura passé la vague du variant delta, il est probable qu’au moins la moitié de la population française aura été infectée par le coronavirus (le chiffre officiel, très sous-estimé, était de 25 % en avril dernier). Donc même sans vaccination de masse, il y avait très peu de risque de saturation des hôpitaux, vu le nombre de Français déjà infectés (on l’a même constaté dès l’hiver dernier : l’Alsace, très sévèrement touchée par la première vague, a connu ensuite une situation hospitalière bien plus sereine qu’ailleurs).
Alors si en plus on estime que le vaccin protège des formes graves, il est clair que le risque d’une saturation des hôpitaux est NUL, ZÉRO !
(Je ne parle pas des cas particuliers comme la Corse en été, qui connaît alors une explosion de sa population touristique pour un nombre ridiculement bas de lits de réanimation).
Alors pourquoi nous imposer un pass sanitaire ?
Si le risque hospitalier est nul, peut-être que la justification est ailleurs.
Peut-être que l’État veut nous sauver « malgré nous », c’est-à-dire obliger les récalcitrants à se vacciner, pour leur bien à eux. Mais est-ce une raison suffisante pour imposer un État policier, où on ne peut plus prendre le train ou prendre un café sans devoir scanner un QR code ??
On laisse bien les gens fumer des cigarettes, acheter des doses d’alcool dangereuses, ou même aller au Fast-Food tous les jours – tout ceci étant dangereux pour la santé, avec de forts risques d’hospitalisation à terme pour maladie grave.
Alors pourquoi ces mesures liberticides centrées sur le vaccin ?
Une autre réponse consiste à dire que le vaccin n’est pas efficace à 100 % contre les formes graves. Et qu’il faudrait donc protéger les vaccinés contre le risque – même très faible – de faire une forme grave après avoir été contaminé par un non-vacciné. Une telle « justification » me paraîtrait disproportionnée si les personnes vaccinées sont censées être protégées à 90 % contre les formes graves.
Mais elle est de toute façon inopérante, car le vaccin ne stoppe pas les contaminations !
Si le vaccin est inefficace pour stopper les contaminations, le PASS est pire qu’inutile : dangereux !
De fait, on a toutes les preuves que le vaccin n’empêche pas les contaminations.
On le savait depuis le début (avant le variant delta), pour une raison simple : le vaccin n’empêche pas le virus de se multiplier dans le nez et la gorge – pour cela, il faudrait un vaccin nasal (et c’est la raison pour laquelle les chercheurs continuent d’essayer d’en mettre un au point !).
Mais avec le variant delta, très contagieux, il est devenu encore plus évident que les vaccinés transmettent le virus, peut-être autant que les non-vaccinés !
Une étude citée par le patron des autorités sanitaires américaines, Anthony Fauci, a montré que les vaccinés testés positifs avaient la même dose de virus dans le nez que les non-vaccinés pendant les 5 premiers jours – donc qu’ils étaient tout aussi contaminants.
Au Royaume-Uni, une étude récente conclut que le vaccin ne serait efficace qu’à 49 % pour réduire les contaminations – mais cela paraît un maximum.
Les Israéliens ont annoncé 39 % seulement d’efficacité il y a quelques semaines – et c’est encore généreux.
Regardez ce qui s’est passé en Islande : ce pays est vacciné à 75 % (un des taux les plus élevés au monde) et vient pourtant de subir une vague de contaminations sans précédent !
Là-bas, les vaccinés ont été contaminés à peu près autant que les non-vaccinés, ce qui a conduit les autorités à reconnaître publiquement que le vaccin n’empêche pas les contaminations – et qu’il est donc illusoire d’espérer une immunité collective vaccinale.
Il ne faut donc pas croire une seconde les charlatans qui vous promettent une « immunité collective vaccinale » à la seule condition que 80 ou 90 % de la population soit vaccinée : c’est strictement impossible mathématiquement avec un vaccin qui protège mal des transmissions ! (avec une efficacité de 40 % contre la transmission, et un R0=5, il faudrait mathématiquement vacciner 200 % de la population pour atteindre l’immunité collective vaccinale, ce qui n’a évidemment aucun sens).
Mais même le chiffre de 40 % d’efficacité contre l’infection paraît très généreux, surtout face au variant delta.
La meilleure preuve vient d’Israël, qui est remarquablement transparent sur ses chiffres.
Figurez-vous que la proportion de contaminations chez les vaccinés, à chaque âge, est similaire à la proportion de personnes vaccinée !
Par exemple, chez les sexagénaires (60-69 ans), la proportion de vaccinés parmi les cas positifs est de 90 %… et la proportion de vaccinés dans cette tranche d’âge est de 87 % !
J’espère que vous réalisez bien ce que cela veut dire !
Si le vaccin est efficace à 100 % contre les contaminations, on devrait avoir 0 % de vaccinés parmi les contaminés. Si le vaccin est efficace à 50 %, on devrait trouver environ 45 % de vaccinés contaminés dans une population vaccinée à 90 %.
Mais si le vaccin est efficace à 0 % – c’est à dire totalement inefficace – on aura à peu près autant de vaccinés contaminés que de vaccinés au total.
Et c’est bien ce qu’on observe en Israël !
[suppression de faits non vérifiés]
Ce qui signifie que les vaccins (Pfizer) n’ont vraisemblablement plus aucune efficacité contre le risque d’infection, et donc de contamination !
On dira peut-être que les vaccinés prennent moins de précautions que les autres, raison pour laquelle ils sont davantage contaminés… mais ils sont aussi moins testés que les autres, ce qui devrait compenser. Et de toute façon, s’il était vrai que les vaccinés sont surcontaminés parce qu’ils sont imprudents, c’est un argument CONTRE le passe- sanitaire, qui vous fait croire que vous ne posez aucun risque dès lors que vous êtes vacciné !
Voilà encore un problème de logique pour le passe-sanitaire.
On vous fait croire qu’il y a un grave danger épidémique, qui justifie des mesures hyper contraignantes. Mais si c’était vrai, on ne devrait pas accepter une simple preuve de vaccination pour entrer dans les restaurants ou les trains, puisqu’on peut être vacciné et transmettre le virus !
Si les autorités voulaient vraiment prendre des mesures fortes face à une menace grave, elles ne devraient accepter que les tests PCR négatifs de moins de 24 heures !
Évidemment, ce serait totalement disproportionné et absurde par rapport à la menace réelle du variant delta, très peu mortel, mais ce serait au moins cohérent !
En l’état, j’ai beau chercher, je ne comprends ABSOLUMENT PAS la justification de ce passeport sanitaire.
Que les vaccins soient efficaces ou non, le passe-sanitaire paraît totalement INUTILE !