COVID – juillet 21 – part 8 – Gouverner par la peur

Où en est-on des connaissances sur la crise sanitaire ?

Dans la partie 6, on a constaté que l’on nous présente la vaccination comme le seul moyen de sortir de cette crise sanitaire pour retrouver une vie normale comme avant.

Cependant quand on analyse les données de manière objective, on a une maladie peu dangereuse, en phase terminale, pour laquelle des traitements ont été démontrés et de l’autre quatre vaccins développés à une vitesse encore jamais vu, dont les essais cliniques ne sont pas terminés et dont les premières utilisations font preuve d’une quantité d’effets indésirables encore jamais constatée par le passé, sans pour autant protéger ni réduire la transmission à 100%.

Dans la partie 7, on remarque que le passeport sanitaire est injustifiable, car si le vaccin est efficace, les non-vaccinés ne peuvent causer de tort aux vaccinés. Si par contre il ne l’est pas, et que le Covid est dangereux, seul un test PCR très récent pourrait être utiles, pas une preuve de vaccination.

Il est donc raisonnable de chercher la justification d’un passeport liberticide, ailleurs que dans une raison sanitaire. Devant tant d’incohérences, l’hypothèse de l’incompétence des dirigeants s’éloigne au profit d’une volonté organisée d’asservir une partie ciblée de la population.

 Coment en est-on arrivé là  ?
Les annonces gouvernementales

Des indicateurs à géométrie variable

  •  Décès, puis malades en réa, puis malade, puis cas personnes infectées que l’on appelle taux d’incidence pour faire savant
  • Par contre le taux de létalité, seul indicateur reconnu en cas d’épidémie est absent des communications à un moment où il est au plus bas
  • Pour la première fois depuis que l’on suit les maladies, il n’y a pas eu de « remise à zéro » des compteurs fin 2020. L’objectif de vouloir augmenter la peur en faisant grossir le chiffre des décès et des cas semble évident.

    Si on procédait de la même manière pour le nombre de cancers du poumon (ce qui n’est pas le cas), on comptabiliserait environ 1 million de décès depuis 1998 !

Alors pourquoi ce traitement spécifique pour le Covid si ce n’est de biaiser la perception des gens. Le directeur de campagne de Sarkosy a dit « La réalité n’a aucune importance. Il n’y a que la perception qui compte ». Tout est dit !

Les médias

Et la méthode de désinformation, elle est employée à tout va. Les réseaux sociaux s’abrogent le droit de censurer tout ce qui ne va dans le sens de la propagande gouvernementale. Les journalistes de la presse qu’elle soit écrite ou télévisuel, répètent sans discernement les nouvelles de l’AFP (associé à Facebook) labellisé « bon média » par le gouvernement. Alors on ne rebat les oreilles avec la liberté de la presse et on nous explique qu’aucune consigne n’est donnée dans les rédactions ni sur le choix des articles ni sur leur teneur. Les journalistes confirment. Cependant dès que l’on creuse un peu, on s’aperçoit que les médias sont détenus par de riches milliardaires, tous amis du président. Ils n’interviennent pas, bien sûr, directement, mais leurs postes, leurs promotions ou simplement leur tranquillité sont bien évidemment liés à leurs docilités.

Les rares journalistes à se rebeller, comme Aude Lancelin, deviennent persona non grata dans toute la profession.

Les réseaux sociaux

La plupart des détracteurs de la politique sanitaire actuelle sont bannis des publications sur les réseaux sociaux au simple fait de ne pas être d’accord avec la pensée unique gouvernementale. Cette pensée est présentée comme un consensus scientifique et, qu’elle soit vraie ou pas, elle ne peut pas être discutée.

    • Politique Youtube

        ◦ Avis contraire à l’OMS illicite, mais l’OMS change ses avis

    • Politique Facebook

        ◦ Interdiction d’émettre un avis opposé à la vaccination

La presse française

La presse ne relaie que les personnes (présentées comme scientifiques, experts, etc.) qui sont en accord avec le discours gouvernemental. Toute personne compétente d’avis opposé est bannie des plateaux TV. Toute publication dans les médias alternatifs par ces personnes est automatiquement qualifiée de fake news sans autre forme de contre-argumentation et sans droit de réponse. Les rares fois ou des personnalités peuvent s’exprimer, elles ont face à elle une série d’opposants qui les moquent, les empêchent de développer leurs arguments ou critique leur personne plutôt de débattre sur les faits objectifs.

Les grands médias sont détenus par les riches oligarques. Concernant la presse écrite, pourquoi investissent-ils dans un business réputé perdre de l’argent, sinon pour contrôler l’information ?

  • État : Arte (des vrais faux reportages comme « la fabrique de l’ignorance » un modèle de manipulation rhétorique dans lequel on se sert du contre-argument pour démontrer l’argument. On nous a toujours menti donc pour le Covid on nous dit la vérité !) / France Télévision/France Inter
  • X.Niel : Le monde (subventionné par la fondation Gates) / L’obs / La vie
  • P.Drahi : Libération / BFM
  • B.Arnaud : Le parisien / Les echos
  • M.Bouygues : TF1
  • Famille Mohn : M6
  • M.Dassault : Le figaro
  • V.Bolloré : Canal+/CNews/Europe1/Match/JDD/Hachette

On nous dit que les rédactions ont le choix des sujets et que la liberté d’expression est de mise. Mais point n’est besoin d’interdire. Qui veut faire carrière à intérêt à publier les articles qui plaisent. Et sinon les menaces implicites de licenciements font le travail. Une fois viré d’une rédaction, retrouver du travail est quasiment mission impossible.

  •  Autocensures individuelles des journalistes, faire carrière impose de ne pas faire de vagues.
  • Peur de l’exclusion des brebis galeuses par la profession, autocensure systémique

Manipulations

La mise en place du suffrage universel direct et le développement de la presse indépendante ont obligé les gouvernements à prendre des mesures pour convaincre son peuple de suivre ses recommandations. Le ministère de la propagande est ainsi créé en 1938 sous Léon Blum. Il s’appelle désormais ministère de l’information et de la communication, des termes beaucoup plus politiquement corrects qui n’en cachent pas pour autant la volonté de faire passer les bons messages.

Tout un tas de méthodes pour faire plier les populations ont été mises en œuvre pendant cette « crise sanitaire ». Ariane Bilhéran philosophe et docteur en psychopathologie, ainsi que Lucien Cerise, docteur en philosophie et chercheur spécialiste de l’ingénierie sociale en démontent brillamment tous les mécanismes.

Les injonctions paradoxales :

Pour amener les gens à faire ce que l’on veut, une méthode consiste à provoquer chez eux un état d’hypnose. Le principe pour obtenir cette transe est de créer de la confusion mentale. Pour cela les injonctions paradoxales qui demandent d’effectuer simultanément une action et son contraire sont habituellement employées par les hypnothérapeutes.

  • Masques inutiles / masques obligatoires en extérieur
  • Masque obligatoire debout dur le trottoir / inutile assis en terrasse de café
  • Confinement néfaste / confinement obligatoire
  • Liberté d’expression / Interdiction d’avoir un avis divergent
  • Sport bon pour la santé / Salles de sport fermées – sorties limitées
  • Éloignement dans les salles de sport ou les restaurants interdits / entassement dans les transports en commun autorisé.
  • Culture interdite / Travail autorisé
  • Vaccination obligatoire impensable / Vaccination pas obligée, mais non-vaccinés privés de toute activité sociale
  • Manifestation interdite / mais autorisation de défiler (Toulouse 25 juillet 2021)
  • Etc.

En conclusion, devant toutes les incohérences, l’hypothèse de l’incompétence des dirigeants ne tient pas et émerge l’idée d’une volonté organisée d’asservir une partie ciblée de la population. Pour arriver à leurs fins les dirigeants mettent en œuvre des techniques d’ingénierie éprouvées. Contrôle de l’information et donc des médias, entretien d’un état d’hypnose amenant la soumission en diffusant des injonctions paradoxales et maintien des gens dans un état de sidération psychique en jouant sur l’émotionnel de la peur.