Synthèse
des vidéos youtube « Saga immunité artificielle » de la
chaîne REINFO COVID TV
Épisode I : l’AMM conditionnelle
Tout médicament nécessite une Autorisation de Mise sur le Marché
délivrée par les Autorités de Santé. L’ANSM en France étudie
un dossier pour garantir efficacité et sécurité du nouveau
médicament à partir des données fournies par le laboratoire.
L’AMM conditionnelle
Accordé pour 1 an afin de répondre à des besoins non satisfaits
en se basant sur des données cliniques moins complètes.
Accordé pour certains types de médicaments :
Maladies graves ou potentiellement mortelles
Situation d’urgence avec menace sur la santé publique
Maladies orphelines
Conditions d’obtention
Rapport bénéfice/risque positif
Les données cliniques détaillées pourront être fournies plus
tard
Pour des besoins médicaux non satisfaits (pas de traitement
existant)
Risque sur le manque de données acceptable / gain santé publique
Épisode II : Le vaccin Pfizer BioNtech
Le vaccin Pfizer est un vaccin à ARN messager qui a pour but de
faire synthétiser la protéine SPIKE qui est celle de l’enveloppe
du virus COVID 19, afin de faire secréter des anticorps par le
système immunitaire du patient. Par un procédé de transcription à
partir d’ADN un ARMm (une partie du virus, celle qui produit la
protéine de surface) est introduit dans une nano enveloppe lipidique
(un excipient) puis sera injecté au patient.
Les problèmes présents
Le vaccin ARMm Pfizer code pour une protéine Spike modifiée, pas
celle du SARS-COV2
Le vaccin contient 2 excipients sur 4 qui n’ont jamais été
utilisés et dont la fin des essais cliniques est prévue pour fin
2021.
Le vaccin contient des ARN-m tronqué (partie de l’ARN-m voulu)
dans des proportions non déclarées, dont on ne connaît pas les
effets en termes de protéine résultante.
On ne connaît donc pas la proportion de principe actif dans le
vaccin
Le vaccin contient des traces d’ADN de transcription
(purification incomplète après fabrication) dans des proportions
non déclarées qui pourrait intégrer notre ADN avec des effets non
connus.
Épisode III : Fertilité Grossesse
Allaitement
Les anciens PDG de Pfizer, Wodarg et Yeadon, ont communiqué sur
les risques liés à la vaccination visant à produire des anticorps
pour combattre la protéine SPIKE. Cela, en raison d’une homologie
de cette protéine de l’enveloppe du virus SRAS-COV2 avec la
protéine SYNCYTINE nécessaire à la placentation et à la fusion
des gamètes. En effet si les anticorps détruisaient la syncytine il
porterait atteinte au processus de reproduction humaine.
Aucune donnée sur ce sujet n’a été apportée aux AMM
conditionnelles. Les études sont en cours avec des résultats
attendus entre 2022 et 2023 selon les laboratoires.
Dans les études sur animaux, les ARMm atteignent de nombreux
organes : cerveau, cœur, poumon, testicules… avec des
persistances à au moins 5 jours.
Préconisations
Sur tous les documents officiels des vaccins Pfizer, Moderna,
Astra-zeneca et Janssen, on peut lire : « L’administration
du vaccin COVID-19 pendant la grossesse doit être envisagée
seulement si les bénéfices potentiels l’emportent sur les risques
potentiels pour la mère et le fœtus. »