Où en est-on des connaissances sur la crise sanitaire ?
Dans la partie 5, les chiffres nous amènent à conclure que l’on ne peut pas comprendre l’attitude hermétique des autorités françaises pour nier l’existence de traitements du Covid, sauf peut-être si on sait que pour vacciner avec une molécule dont les essais de phase trois ne sont pas achevés, il faut une Autorisation de Mise sur Marché Conditionnelle et que cette dernière ne peut être délivrée que s’il n’existe pas de traitement adapté contre la maladie.
Où en sommes-nous avec les « vaccins »
Comme présentée dans la partie précédente, les autorités affirment qu’il n’y a pas de manière de traiter le Covid pour en guérir. Donc de manière tout à fait logique, il nous impose la vaccination comme seule moyen de se protéger de la maladie, mais aussi comme seul façon d’arrêter sa progression. On oublie dans cette présentation la possibilité que d’une part le Covid ne soit pas dangereux et qu’éventuellement si c’est le cas, l’épidémie est derrière nous.
Donc d’après le gouvernement, le vaccin va nous sauver et il faut que toute la population, des enfants aux vieillards, se vaccine.
Les différents types de « vaccin »
Les quatre vaccins proposés à l’injection sont :
- Pfizer et Moderna : ARN-m , Séquence ARN-m de production de protéine proche de Spike
- AstaZénéca et Janssen : Adénovirus, Séquence ADN de production de protéine Spike dans un virus modifié
J’ai déjà rédigé un article sur les différents types de vaccin et leurs fonctionnements au-delà des 4 proposés.
Comment a-t-on pu imposer ces injections ?
Nous sommes en juillet 2021 et le passe-sanitaire, manière déguisée de l’imposition vaccinale, va bientôt être en vigueur.
Il est « amusant » de noter que lors d’une interview du Pr Raoult en décembre 2020, il disait « Si on s’amusait à faire ce vaccin obligatoire (3m58), vous auriez une révolution… faut pas le faire, ce serait de la folie. »
- Pour tester un vaccin, il faut une AMM conditionnelle justifiée par l’urgence de la situation sanitaire (qui doit être dangereuse) et l’absence de traitement (supposons que ce soit le cas).
- On nous propose, une injection à ARN-m ou à Adénovirus, des premières technologiques développées simultanément par 4 laboratoires dans des temps records, alors que depuis 20 la thérapie génique est en développement sans résultats probants, si ce n’est des dommages collatéraux sur les patients cobayes. Comment se fait que l’on puisse obtenir ce genre de résultat en si peu de temps d’une façon généralisée ?
• Aujourd’hui on n’attend même pas la fin des essais de phase 3 pour généraliser une injection dont les effets secondaires semblent largement supérieurs aux bénéfices.
Bilan bénéfices / risques
Le choix de l’utilisation d’un médicament part toujours d’une analyse de la balance bénéfice / risques à le prendre, mais aussi risques à ne pas le prendre vs bénéfices à le prendre.
On nous présente quatre produits différents » qui :
- n’empêchent pas la transmission
- n’empêchent pas d’être contaminés
- ne protègent que des formes graves en tout cas pas à 100 %
- ne protègent pas des nouveaux variants
- n’empêchent pas les vaccinés de transmettre le virus aux personnes fragiles
côté bénéfices, c’est pas vendeur !
- produisent des cas de thromboses (quantité à préciser) dans une population de jeunes qui n’ont pratiquement aucunes chances de faire une forme grave (bénéfice nul).
- semblent favoriser la résistance du virus et sa transformation en variant qui dévient résistant au vaccin
côté risques, ça ne semble pas anodin !
Examinons les effets indésirables qui semblent se produire
D’après une enquête du sociologue Laurent Mucchelli, (censurée par mediapart), i on additionne les conséquences les plus graves pour chacun des 4 vaccins en vigueur au 8 juillet 2021, on parvient au tableau ci-dessous. Il livre le constat de plus de 15 000 évènements indésirables graves, parmi lesquels plus de 1 800 hospitalisations, plus de 2 800 mises en jeu du pronostic vital et près de 10 000 morts potentiellement liés à la vaccination anti-covid. Le tout en seulement 6 mois.
Nombre doses injectées en France au 8 juillet 2021
- Pfizer : 42,5 millions
- Moderna : 5,2 millions
- Astrazeneca : 7,2 millions
- Janssen : 608 489
Problèmes rencontrés à la même date :
Les 982 morts de ce tableau sont à rapprocher, non pas aux 111 000 morts déclarés covid, depuis le début de la pandémie en mars 2020, mais aux 24 000 décès sur les six derniers mois. Est-il souhaitable de tuer 1 000 personnes pour en sauver 24 000, sachant que les 1000 et les 24000 ne font pas partie du même type de population ? La question se pose.
D’après une analyse du CSI à partir de la base de données européenne des rapports des effets indésirables susceptibles d’être liés à l’utilisation des médicaments, on peut voir la balance bénéfices/risques du vaccin (probabilité de mourir du vaccin comparée à celle de mourir du Covid). Comme attendu le bénéfice est positif pour les personnes de plus de 70 ans et encore plus pour les plus de 85 ans. À l’opposé, le risque de létalité est plus de 200 fois supérieur au bénéfice pour les moins de 20 ans.
Il y a en plus des biais qui n’ont pas pris en compte dans cette étude du CSI.
- Un premier biais, c’est que les données proviennent d’informations données par les médecins dont il semblerait qu’une petite majorité fasse remonter les effets indésirables du vaccin alors que les notifications Covid sont à coup sûr surévaluées puisque toute personne décédée porteuse du virus est déclarée morte du Covid. Mais, il y a forcément des porteurs sains ou guéris (+ de 5 millions) qui décèdent d’autre chose que du Covid.
- Le deuxième biais est que tous les calculs ont été effectués en considérant que le vaccin protégerait à 100 % d’une forme létale du Covid19, ce qui n’est déjà pas annoncé comme tel par les fabricants de vaccin. Prendre une injection qui risque de vous tuer sans vous garantir de vous empêcher de mourir de la maladie n’est pas très logique.
La prise en compte de ces facteurs ferait dramatiquement pencher la balance en faveur du risque plutôt que de celui du bénéfice. Et toutes les considérations précédentes ne prennent en compte que les effets à court terme de la vaccination, car nous n’avons aucune idée des effets indésirables à long terme. Tout d’abord parce que les essais de phase trois ne se finiront qu’en 2022 ou 2023 et que rien n’exclut que des effets, comme le cancer, puissent être constatés sur des durées de plus de 2 ans.
Finalement, on peut imaginer que le vaccin soit utile pour une partie de la population, notamment les personnes âgées avec des comorbidités, mais il faut une certaine forme de croyance (ou de mauvaise foi) pour trouver à ces injections, plus de bénéfices que de risques pour la totalité de la population.
La même question revient donc incessamment, pourquoi si le Covid est dangereux et que la balance bénéfices/risques est faible, encore plus si la maladie n’est pas létale ou que l’on peut soigner par des traitements efficaces en phase précoce, pourquoi veut-on « quoi qu’il en coûte » nous vacciner ?
Et si le coupable était la protéine SPIKE ?
Ajout du 4/9/21
Il a été constaté une augmentation des Ddimères à 2 micro-g/L chez les patients atteints du Covid 19 précurseur des risques d’embolie pulmonaire.
Suite à des autopsies sur des personnes décédées après injections vaccinales, un problème de présence de micro caillots dans les artères créés par des modifications de la surface des cellules dues à la présence de la protéine SPIKE sur les récepteur E2 de tissus.
La détection de D-dimères dans le sang sur plus de 60% de personnes vaccinées qui n’y étaient pas avant vaccin atteste de la présence de caillots dans les capillaires du cerveau qui seront définitivement endommagés. En s’incorporant sur la paroi cellulaire, la protéine SPIKE transforme cette enveloppe normalement lisse et la rend rugueuse. Les plaquettes interprètent cette état comme une atteinte et le processus de coagulation se déclenche pour y porter remède. Il faudra certainement s’attendre à de multiples problèmes cardiovasculaires pour les personnes vaccinées dans les années à venir.
En conclusion, on nous présente la vaccination comme le seul moyen de sortir de cette crise sanitaire pour retrouver une vie normale comme avant.
Cependant quand on analyse les données de manière objective, on a une maladie peu dangereuse, en phase terminale, pour laquelle des traitements ont été démontrés et de l’autre quatre vaccins développés à une vitesse encore jamais vu, dont les essais cliniques ne sont pas terminés et dont les premières utilisations font preuve d’une quantité d’effets indésirables encore jamais constatée par le passé, sans pour autant protéger ni réduire la transmission à 100%.
Enoncé comme ça, qui aurait envie de se faire injecter le produit ?