COVID – juillet 21 – part5 – traitements précoces

Où en est-on des connaissances sur la crise sanitaire ?

Dans la partie 4, les chiffres nous amènent à conclure que les mesures prises pour le COVID sont disproportionnées par rapport à celles qui ne sont pas prises contre des toxiques comme le tabac ou la malbouffe qui causent des maladies mortelles chaque année et depuis longtemps.
 
On y constate aussi que les mesures gouvernementales ciblent davantage les restrictions de liberté de la population que le renforcement du système de santé mis à mal depuis des années par les restrictions budgétaires.
 

Qu’est-ce qui peut justifier des telles mesures liberticides ?

Examinons les traitements de la maladie

Depuis le début de la crise sanitaire, le gouvernement nous dit qu’il n’y a pas de traitement possible. En cas de symptômes, les médecins du 15 conseillent de rester chez soi et de prendre du paracétamol. La mesure du taux de saturation en oxygène dans le sang, pourtant précurseur de cas grave et facile à faire, n’est même pas recommandée. Pire, des médicaments qui ont prouvé leur innocuité pendant des années sont interdits de prescription pour les médecins, en dehors des centres hospitaliers.

Hydroxychloroquine + Azythromycine

  • Ce traitement est préconisé par l’IHU de Marseille, le plus grand centre hospitalier de Recherche médicale en France, reconnu mondialement. Il fut interdit par le ministre de la santé après une fausse étude, honteusement truquée, parue dans le Lancet, mais non réautorisé après le retrait de l’article seulement quelques jours plus après sa parution.
  • L’hydroxychloroquine, une molécule qui n’a pas fait de mort ni présentée de génotoxicité pendant 20 ans est devenue subitement « substance vénéneuse » en octobre 2019
  • Un traitement utilisé en toute transparence à l’IHU de Marseille avec des taux de létalité deux fois plus faible que partout ailleurs en France.
    • L’étude française Discovery n’associe pas l’azythromycine, ne prend pas le nombre de patients statistiquement suffisants pour conclure et arrête les essais cliniques concluant à inefficacité du traitement deux jours après le Lancet Gate.
    • Des études qui concluent que le traitement est dangereux, mais prescrivent au-delà des doses maximales autorisées à des patients arrivés au stade « cas grave » alors que le protocole du Pr Raoult indique sa prescription en début de maladie.
    • Une meta-analyse qui conclut à l’efficacité

Ivermectine

Remdesivir

Zinc

  • Un oligoélément qui bloque la réplication virale. Les études montrent une corrélation entre formes graves du Covid et déficit en Zinc. Les individus à partir de 60 peuvent commencer à présenter un déficit en Zinc. Une zincémie réduite est aussi notée chez les personnes obèses.
  • Une étude traitement HCQ+AZM+Zinc donne un impact favorable sur l’évolution de la maladie.

Vitamine D

Un agent connu pour renforcer le système immunitaire, sachant qu’une grande partie des personnes en EHPAD sont carencées en vitamine D. 

Un collectif de médecins demande la prescription de la vitamine D pour lutter contre le Covid

La vitamine D est recommandée par les autorités de santé du Royaume-Uni dans le cadre du traitement du Covid.

  • En conclusion, on ne peut pas comprendre l’attitude hermétique des autorités françaises pour nier l’existence de traitements du Covid, sauf peut-être si on sait que pour vacciner avec une molécule dont les essais de phase trois ne sont pas achevés, il faut une Autorisation de Mise sur Marché Conditionnelle et que cette dernière ne peut être délivrée que s’il n’existe pas de traitement adapté contre la maladie.