Où en est-on des connaissances sur la crise sanitaire ?
Qu’est-ce qui peut justifier des telles mesures liberticides ?
Examinons les traitements de la maladie
Depuis le début de la crise sanitaire, le gouvernement nous dit qu’il n’y a pas de traitement possible. En cas de symptômes, les médecins du 15 conseillent de rester chez soi et de prendre du paracétamol. La mesure du taux de saturation en oxygène dans le sang, pourtant précurseur de cas grave et facile à faire, n’est même pas recommandée. Pire, des médicaments qui ont prouvé leur innocuité pendant des années sont interdits de prescription pour les médecins, en dehors des centres hospitaliers.
Hydroxychloroquine + Azythromycine
- Ce traitement est préconisé par l’IHU de Marseille, le plus grand centre hospitalier de Recherche médicale en France, reconnu mondialement. Il fut interdit par le ministre de la santé après une fausse étude, honteusement truquée, parue dans le Lancet, mais non réautorisé après le retrait de l’article seulement quelques jours plus après sa parution.
- L’hydroxychloroquine, une molécule qui n’a pas fait de mort ni présentée de génotoxicité pendant 20 ans est devenue subitement « substance vénéneuse » en octobre 2019
- Un traitement utilisé en toute transparence à l’IHU de Marseille avec des taux de létalité deux fois plus faible que partout ailleurs en France.
- L’étude française Discovery n’associe pas l’azythromycine, ne prend pas le nombre de patients statistiquement suffisants pour conclure et arrête les essais cliniques concluant à inefficacité du traitement deux jours après le Lancet Gate.
- Des études qui concluent que le traitement est dangereux, mais prescrivent au-delà des doses maximales autorisées à des patients arrivés au stade « cas grave » alors que le protocole du Pr Raoult indique sa prescription en début de maladie.
- Une meta-analyse qui conclut à l’efficacité
Ivermectine
- L’Ivermectine, une molécule connue depuis 40 ans avec 3.7 milliards de doses distribuées sans problème majeur. Un traitement antiparasitaire, antivirale, antibactérienne, anti-inflammatoire
- Un traitement efficace contre le Covid
- Un traitement dont l’efficacité est passée de délire de complotiste à publication de l’institut Pasteur (juillet 2021).
- Un traitement Ivermectine + hydroxychloroquine a été utilisé à compter d’août 2020 dans la province de l’inde (Uttar Pradesh) et a distribué un le kit Ziverdo (Ivermectine+Doxycycline+Zinc)
- Déclaration commune Evidence-Based Medecine Consultancy Ltd et FLCCC pour demander l’utilisation de l’Ivermectine
- Le Maharashtra, une autre province s’est lancé dans la vaccination avec semble-t-il plus de décès. Il est quasiment impossible de trouver cette information sur le Web et les grands médias présente l’Inde comme un pays unique où tous les Indiens seraient vaccinés. L’aspect fédéral pourvu de politiques sanitaires différentes n’est jamais indiqué.
Remdesivir
- Un médicament qui semble promouvoir la multiplication des variants du SARS-COV2
- Un traitement testé pour Ebola, mais abandonné
- Un traitement qui a donné des résultats positifs in vitro mais pas en essai clinique. Cela n’empêche pas Fauci d’annoncer l’efficacité du Remdesivir pour réduire le temps de traitement, mais sans preuve statistique. Cela débouche sur une ATU en juillet 2020, mais l’OMS dit attention en sept 2020. Suspension de l’ATU suite publication essai solidarity le 15 octobre 2020 qui montre l’inefficacité du médicament.
- Un traitement acheté pour 1,2 milliard d’euros par l’UE le 8 octobre 2020 deux jours avant la publication démontrant inefficacité du médicament voire sa dangerosité.
- Le cours de Bourse de Gilead est au plus haut le jour de l’annonce de l’efficacité par Fauci puis redescend ensuite. Cela a permis à ceux qui étaient au courant de la manœuvre de se faire une petite fortune.
- Donald Rumfeld, promoteur du néolibéralisme est administrateur de Gilead qui vend le Remdesivir. Blackrock fond de pension américain (appelé par Macron pour gérer les retraites françaises) est actionnaire de Gilead.
Zinc
- Un oligoélément qui bloque la réplication virale. Les études montrent une corrélation entre formes graves du Covid et déficit en Zinc. Les individus à partir de 60 peuvent commencer à présenter un déficit en Zinc. Une zincémie réduite est aussi notée chez les personnes obèses.
- Une étude traitement HCQ+AZM+Zinc donne un impact favorable sur l’évolution de la maladie.
Vitamine D
Un agent connu pour renforcer le système immunitaire, sachant qu’une grande partie des personnes en EHPAD sont carencées en vitamine D.
Un collectif de médecins demande la prescription de la vitamine D pour lutter contre le Covid
La vitamine D est recommandée par les autorités de santé du Royaume-Uni dans le cadre du traitement du Covid.
- En conclusion, on ne peut pas comprendre l’attitude hermétique des autorités françaises pour nier l’existence de traitements du Covid, sauf peut-être si on sait que pour vacciner avec une molécule dont les essais de phase trois ne sont pas achevés, il faut une Autorisation de Mise sur Marché Conditionnelle et que cette dernière ne peut être délivrée que s’il n’existe pas de traitement adapté contre la maladie.